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Capitale:Philipsburg
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La cohabitation dans cette île remonte à 1631 alors que les planteurs hollandais s'établirent au sud, deux ans après que les colons français se soient installés au nord. Deux ans plus tard, les Espagnols se réveillèrent, envahirent l'île et déportèrent les 128 colons. Les Hollandais tentèrent en vain de reprendre l'île en 1644 mais les Espagnols quittèrent d'eux-mêmes en 1648 laissant la voie libre au retour des Hollandais et des Français qui rivalisèrent pour le contrôle de l'île jusqu'à ce que la présente frontière soit déterminée en 1817. Après l'abolition de l'esclavage l'économie des plantations déclina ainsi que la population qui totalisait seulement 1 500 personnes en 1950. Depuis ce temps, l'essor du tourisme a renversé la tendance et la population a grimpé à 32 000 dans la partie hollandaise et à 27 000 dans la partie française
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| Atlapedia CIA Country Reports Lonely Planet Traveldocs | ||
Il faisait déjà nuit lorsque je suis arrivé à l'aéroport Juliana de Sint Maarten mais j'ai eu la chance de tomber sur un chauffeur de taxi honnête qui me conduisit directement au José's Guesthouse qui était pas cher et correspondant exactement à mes besoins.
Les bateaux de croisière sont là, comme partout ailleurs dans les Caraïbes.
Si ce n'étaient de ces gros bateaux, Philipsburg serait un village minable car les salines qui faisaient sa prospérité jadis, n'ont pas été exploitées depuis 1950.
Il y en a de toutes grandeurs et de toutes formes.
Y compris des catamarans à 6 étages.
Selon les données publiées par l'Organisation du Tourisme International, les Antilles Néerlandaises obtiennent un Indice de Saturation Touristique (IST) élevé de 1,13 mais ce taux inclut St-Eustatius, Saba, Aruba, Curacao et Bonaire. Philipsburg est tellement saturé que je pense que l'indice serait plusieurs fois plus élevé si on pouvait obtenir des données distinctes pour cette île.
Le centre-ville de Philipsburg est tellement semblable à celui de Charlotte Amalie que si vous émergiez d'une beuverie à une des deux, vous pourriez facilement vous croire dans l'autre.
Ceux d'entre vous qui n'ont jamais "émergé d'une beuverie" n'ont qu'à utiliser leur imagination pour voir ce que je veux dire.
Ce fameux, et dispendieux, restaurant français, L'Escargot, pourrait être n'importe où aux Caraïbes. Il essaie, et réussit, de présenter le parfait stéréotype de ce que les touristes s'attendent d'un restaurant français.
Le Seafood Galley est seulement un des nombreux restaurants et bars de Sint Maarten.
Appuyez ici pour une vue en direct du Sunset Beach Bar sur la plage Maho près de l'aéroport.
Philipsburg a vraiment une belle plage et il y en a quelques autres tout près.
Les choses sont plus tranquilles à l'extrémité ouest de Philipsburg car peu de touristes des bateaux s'aventurent plus loin que l'hôtel Seaview Beach
Voici le José's Guest House, à l'extrémité ouest de Philipsburg, où j'ai loué une chambre petite mais correcte pour 21 $US la nuit.
J'ai beaucoup plus aimé Sint Maarten que les Îles Vierges à cause de José Rovelet et de sa femme Joanna qui étaient des gens authentiques avec leurs défauts et des émotions et non des stéréotypes du "serviteur de touristes" calculateur et prédateur que je reconnais maintenant à un mille à la ronde (parfois, un mille n'est pas encore assez pour me donner la chance de me sauver).
J'ai aussi bien aimé la maison de José parce que Annika Johansson y demeurait aussi.
