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Capital: Tashkent
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Quelques excursions étaient offertes aux participants du congrès mondial du pétrole à Moscou. J'ai choisi de visiter l'Institut Soviétique du Gaz Naturel à Tashkent avec un à côté à Samarcand et Boukhara parce que l'Ouzbékistan était le principal producteur de gaz naturel de l'Union Soviétique en 1971 et parce que cet institut était le bon endroit pour aller voir ce que les Soviétiques voudraient bien montrer aux occidentaux à ce moment là. |
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Les experts soviétiques nous montrèrent leurs systèmes informatisés de contrôle à distance de la production des têtes de puits et des débits des canalisations de de ramassage. Leurs systèmes étaient intéressants mais pas meilleurs que ceux que nous utilisions couramment. Nous avons été cependant fort impressionnés de constater que la majorité des chefs de département de l'Institut étaient des femmes et qu'elles connaissaient vraiment leur affaire!
Dans les années '70, très peu de femmes dans le monde occidental réussissaient à atteindre des postes de cadres moyens. Les Soviétiques étaient définitivement en avance sur nous dans ce domaine.
Leur hospitalité était parfaite. On voit ici quelques délégués relaxant sur ces platesformes de style oriental près d'un ruisseau dans un parc.
Ci-dessous à gauche, d'autres plateformes semblables près d'un étang dans un autre parc ombragé et à droite, des Musulmans en prières devant une ancienne mosquée.
Finalement, nous sommes arrivés à cette fabuleuse Samarcande. Voici le portail de la madrassa (école coranique) d'Ulug Beg, telle qu'elle s'élevait sur le côté ouest de la place Registan en 1971. Elle a été considérablement restaurée depuis.
Derrière moi on voit l'arrière la Madrassa Shir-Dor en face de la Madrassa d'Ulug Beg de l'autre côté de la place du Registan
Voici le portail sud de la madrassa Shir-Dor telle que vu depuis la cour intérieure.
Cette photo de l'angle sud-est de la cour montre le côté intérieur de l'entrée principale et une partie du portail sud vu ci-devant.
Plus à l'ouest de la place Registan s'élève la mausolée de l'Émir Gul dont on voit ici le dôme encadré.
On peut apercevoir les ruines de la mosquée Bibi-Khanym derrière cette foule de clients dans un marché local à l'est de la place Registan.
Notre excursion nous amena brièvement à l'également célèbre ville de Boukhara où j'ai pris cette photo de l'exquise mosquée Bolo Hauz près de l'entrée qui conduit à l'immense forteresse du Palais de l'Arche dont je n'ai malheureusement pris aucune photo durant ce voyage de 1971.
Non loin à l'ouest de la mosquée Bolo Hauz s'élève ce remarquable minaret de 47 mètres devant la mosquée Kalyan du 16e siècle, assez grande pour recueillir 10 000 fidèles. Le minaret Kalyan, fut construit si solidement en 1127 qu'il n'a eu besoin que d'entretien cosmétique mineur depuis près de neuf siècles.
Des marchés couverts tels que celui-ci s'imposèrent naturellement
contre la lumière du soleil violemment agressive dans ce pays désertique.
Il en reste encore trois à Boukhara. Celui-ci, le plus méridional, le
Taki-i-Sarrafan était le domaine des échangeurs de monnaie.
Celui-ci, non loin vers le nord-ouest, nommé Taki Telpak Furushon, était réservé aux artisans de calottes et bonnets.
Et le dernier, plus au nord et pas loin du minaret Kalyan, est le Taki Zargaran construit en 1417 pour les artisans et commerçants de bijoux.
J'ai encore une demi-douzaine de photos d'édifices anciens que je ne peux pas identifier mais je vous montrerai seulement cette Madrassa et celle sur la photo suivante en espérant que vous puissiez leur donner un nom.
Voici l'autre madrassa que vous identifierez pour moi j'espère.
D'ici nous nous sommes envolés vers Moscou et Léningrad avant de rentrer à la maison via Paris.
Cette pause de la routine quotidienne avait été intéressante et agréable...
