Capitale: Riyad
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L'hôtel moderne où je logeais à Riyad se trouvait dans sa propre enceinte. La haute clôture métallique qui l'entourait était superflue car il y a très peu de délits communs en Arabie saoudite. Même maintenant, les voleurs qui se font prendre se font couper les mains.
Nos hôtes nous invitèrent pour un après-midi à la piste de courses royale. Au premier rang sur cette photo on voit l'ambassadeur du Canada, monsieur Joron, le ministre des ressources naturelles du Québec et un prince dont j'ai aujourd'hui oublié le nom.
Les Arabes font des courses avec des chevaux arabes bien entendu mais aussi avec des chameaux. J'étais stupéfait de constater la vitesse de ces bêtes dégingandées.
Ci-dessous à gauche, une grande mosquée au centre de Riyad et à droite, un enfant arabe dans un oasis voisin.
Me voici en promenade dans le même oasis.
Le centre de Riyad est très moderne mais quelques-unes de ses banlieues sont plus traditionnelles.
Une vue à vol d'oiseau de l'oasis Al Hufuf montre la confusion des rues et ruelles tordues qui forment la ville entourée de vertes plantations qui cèdent bientôt la place aux éternels sables du désert.
Voici une des unités de production d'un gisement pétrolier près de Dammam (sans doute l'immense gisement de Khafji)...
Al Jubayl est un centre industriel de produits pétrochimiques et un port d'expédition de pétrole situé à quelques km au nord de Dhahran-Dammam.
La ville moderne de Dhahran à côté de la plus ancienne Dammam, sert de base aux travailleurs du pétrole expatriés qui font marcher l'industrie pétrolière du pays. Voici seulement un des édifices de l'Université du Pétrole et des Minéraux. C'est la seule photo que j'ai rapportée. C'est dommage car il y avait aussi une vaste cité d'expatriés qui aurait pu être n'importe où au Texas.
J'avais bien demandé la permission au boucher avant de prendre cette photo au marché de Dammam mais il y avait un "policier de la religion" à proximité et il est venu vers moi en colère dès qu'il a vu le flash de la caméra. Ce fut toute une scène avec ce vieux schnok qui criait après moi en arabe et qui devenait de plus en plus excité alors que je tentais de lui répondre en anglais, langue qu'il ne comprenait pas. Heureusement quelques spectateurs ont pris ma défense et je me suis débrouillé pour m'esquiver pendant qu'il était occupé à discuter avec eux!